Ce ne sont pas les exemples qui manquent !

La France est un beau Pays!!! Un modèle social , parait-il ? Un modèle à ne pas suivre plutôt. La France adore les réformes à condition qu'elles ne concernent que les autres. L'exemple est brûlant d'actualité, notre président fut élu sur une liste de réformes promises la main sur le coeur. Qu'en est-il après trois ans de règne? Aucune  n'est opérationnelle, à part le mariage des homos, mais on lui en veut à peine. On laisse la contestation aux spécialistes du genre, les gros bras, les ânes bâtés, les moutons, les bénis-oui-oui du communisme. Et oui on en est encore là. Ces messieurs dames environ 5% de la population salariée emmerdent le monde avec des idées qui étaient déjà vouées à l'échec quand elles furent imposées par Marx et sa bande ! Il a fallu quand même quelques 20 millions de morts pour les imposer !

Mais ces idées ont la vie dure, et les branquignols qui nous les serinent à longueur de quinquénats ne sont pas prêts à en changer. Il faudrait qu'ils comprennent et ça c'est autre chose. Alors ils utilisent les "réseaux" mis en place du temps où le PC faisait 20% des voix. Les lycéens en sont le plus beau fleuron, celui de la lâcheté. pensez-vous, on n'osera jamais frapper les enfants !!! Voire...

Et si ça arrivait ? ça ferait plus d'effet, ça serait tout bénef !

Et pour ça le lavage de cerveaux est bien au point, la manipulation rodée jusqu'à la corde ! J'ai connu moi-même ce genre de pratique, et mon père racontait aussi que de son temps, ils subissait la pression des syndicats d'enseignants.

Et oui les filles, vous êtes bien mignones, mais avant de brandir les pancartes, apprenez ce qu'est un syndicat, une entreprise, les règles de l'économie. Et j'en passe.

Et puis, la colère engendrée par ces manifestations, exacerbée, et encouragée par les manipulateurs professionnels vous rend moches et rien que ça ça devrait vous interpeler.

            Aucune imagination dans ces manifs, c'est toujours les mêmes slogans, les mêmes chansons, les mêmes pancartes, et les mêmes banderoles. Un peu comme au carnaval où ce sont toujours les mêmes qui re-font la seule chose qu'ils savent faire. Rappelez-vous, Un jour il vous a fallu manifester pour Leonarda, cette petite garce vulgaire et déplaisante qui voulait gouverner le pays ! Elle n'est plus là et vous manifestez toujours mais pour autre chose, quelle difference ? Léonarda ou Myriam, dans quelques mois vous les aurez oubliées , avec raison.

Alors écoutez-moi cinq minutes !!!

On vous présente la loi travail comme une loi instaurant la précarité ! La précarité est la base même de toute activité sur terre. La vie, la santé, les amours , le travail, la précarité est partout ! Il reste un espoir pour les fonctionnaires, mais je doute que ça continue encore longtemps.  Notre président, lui-même, n'a obtenu qu'un CDD ! Il faut lutter contre la précarité. Deux solutions, les études pour démarrer, et le courage pour continuer. Tout le reste n'est que slogans inutiles. 

La précarité c'est le chômage, l'inactivité, la paresse. Alors défoncez-vous pour réussir. Vous apprendrez qu'il ne faut rien attendre des autres, vous devez vous démerder toutes seules. Quand vous en aurez marre de ramer ou de subir, vous aurez envie de créer votre emploi et d'autres. Cela deviendra le rêve de chaque instant et vous comprendrez tout, y compris ce que je vous dis aujourd'hui.

Vous serez la plus heureuse parmi celles qui ont tout compris.

La réussite est à la portée de  toutes, il suffit de le vouloir et ne pas écouter les sornettes d'un autre âge, sussurées à vos oreilles par des gens qui ne vous valent pas, et qui n'ont jamais su s'assumer, évoluer, faire autre chose que détruire, les espoirs en premier. On nous parle de démocratie ? Je rigole. La démocratie c'est la loi de la majorité ! Quand 1 million de manifestants manifeste pour imposer ses vues, dites vous bien qu'il y en a soixante millions qui ne manifestent pas ! La gauche n'existe plus, ou presque plus, il est temps pour vous de réfléchir, et de penser à autre chose. C'est seulement un conseil.

"Je n'identifie pas de mouvements massifs", déclare Emmanuel Grégoire, le "premier fédéral" parisien, mais "on surveille cela de près". Il fait remarquer toutefois que "les formes d'actions militantes et d'organisation que proposent les partis politiques sont totalement périmées par rapport aux attentes des citoyens" et que le phénomène "touche tous les partis".

Vos examens sont pour bientôt. Vous devez vous concentrer sur cette idée, Rien d'autre ne doit compter. Travaillez et vous gagnerez. Pas d'autres miracles. Tout se gagne, tout se mérite. Seule la réussite doit guider votre vie Oubliez les manifs, laissez-les aux agitateurs professionnels.

Souriez à l'avenir.........................

Par Caroline Beyer Publié le 06/04/2016 à 21:49 Le Figaro.

Les élèves des établissements touchés par le mouvement s’inquiètent de ne pas pouvoir étudier sereinement. Un mouvement confisqué par l’extrême gauche qui dépasse les revendications contre le projet de loi travail. Des blocages, des dégradations, des débordements… Et, bientôt, les partiels et le baccalauréat. «Les lycéens commencent vraiment à s’inquiéter. Après cinq semaines de mobilisation, les élèves des établissements touchés par les blocages hebdomadaires peuvent avoir perdu 10 à 20 % des cours du 3e trimestre», estime Philippe Tournier, le secrétaire général des personnels de direction (SNPDEN-Unsa).

La lassitude progresse dans les rangs des lycéens, mais aussi de leurs enseignants qui, même lorsqu’ils soutiennent la mobilisation contre la loi El Khomri, ne valident pas la forme prise par le mouvement. «Il n’y a plus vraiment d’AG, comme au bon vieux temps. Le blocage pur et simple est devenu une idée fixe. D’ailleurs, on ne sait pas qui bloque», poursuit Philippe Tournier, qui décrit «une violence que l’institution refuse de voir». Poubelles brûlées, jets de projectiles, vitres cassées… Face aux incidents, onze proviseurs ont décidé, le 31 mars, d’une fermeture administrative de leurs établissements. Une mesure peu fréquente à laquelle des universités, comme Paris-I, Lyon-II et La Victoire à Bordeaux ont aussi eu recours le 17 mars.

20.000 euros de dégâts «Vous voulez manifester? Manifestez! Mais ne bloquez pas le fonctionnement d’une université qui accueille plus de 45.000 étudiants de toutes nationalités et qui a une certaine renommée à défendre», lance David Chammas étudiant en droit à Paris-I-Sorbonne choqué des dégradations constatées à Tolbiac. Des tags, une sonorisation vandalisée. Au total, 20.000 euros de dégâts, selon le président de Paris-I.

«Il est révoltant de voir une université fermer ses portes parce qu’une dizaine d’étudiants rejouent Mai 68!, lance Olivier Vial, le président de l’UNI. Le mouvement n’est pas massif. Il est en train de se radicaliser.» Le 30 mars, le syndicat étudiant classé à droite dénonçait l’autorisation de manquer les cours, accordée par certaines universités, notamment celle de Poitiers.

«Les établissements ne doivent en aucun cas organiser des “parcours aménagés” pour les opposants à la loi travail. Nos diplômes ne peuvent être bradés pour faire plaisir à quelques syndicalistes», juge le syndicat qui parle d’«une véritable rupture d’égalité». Et Olivier Vial de rappeler qu’après le CPE certaines universités ultramobilisées, comme Rennes-II, Montpellier-III et Toulouse Le Mirail, avaient enregistré une baisse des inscriptions l’année suivante.

Après la mobilisation du 5 avril, l’Unef et les organisations lycéennes Fidl et UNL appellent à manifester le 9 avril, aux côtés des syndicats professionnels. Fidèle à ses positions, la Fage (Fédération des associations générales étudiantes) attend, elle, des avancées sur le projet de loi, mais ne demande pas de battre le pavé. «La jeunesse n’est pas dans la rue! Des jeunes sont dans la rue», martèle Alexandre Leroy, le président de la fédération. «Manifester est un droit. Nous condamnons les récentes violences policières. Mais nous condamnons aussi les personnes qui saccagent les amphithéâtres. Il faudrait peut-être respecter les étudiants qui, dans certaines facs comme Amiens, ont voté démocratiquement contre le blocage», ajoute-t-il.